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Bonsoir. Une 2ème journée encore riche en informations, émotions, projets du bout du monde (Brésil, Réunion, Australie, Canada, France, Guadeloupe). Et dire que partout dans le Monde des bénévoles œuvrent pour des enfants, des adolescents, adultes. Partout, la motivation des adultes semble la même. Alors même si sur toute la planète, les fondamentaux se recoupent, les idées semblent toujours plus innovantes, simples, faciles à mettre en œuvre. « Encore fallait-il y penser » ! Les thèmes que j’ai pu partager aujourd’hui : Culture et sport, quelles complémentarité, quels liens ? Au travers des actions comme le réseau Caravan autour du cirque, Justkiffdancing, le plus petit cirque du monde, Valide et on-valide, ou bien encore Entorse qui veut faire se croiser le monde du sport et l’art. Alors à côté, une autre question qui était posé : « l’Activité physique et sportive, un outil de prévention et de promotion de la santé. » De se côté, le Quebec n’est pas non plus en manque d’idées en proposant une semaine de sport dans les écoles.
Et puis si l’éducation se conjugue dès la jeune enfance, les adultes ne sont pas en reste avec des soutiens comme : « Parlons insertion professionnel par le sport » ou comment des moyennes ou grandes entreprises choisissent de s’engager dans la voie du sport. Utiliser le sport dans l’entreprise pour rapprocher le personnel, les responsables, créer du lien social, pérenniser le bénévolat. Ca passe d’un groupe moyen, à une petite association d’île de France (Impulsion 75) pour terminer par un groupe d’ampleur national. Tous sont unanimes, « le sport et l’entreprise, c’est magique », « Encore fallait-il y penser ». Alors juste après, quand on s’interroge sur : « Faut il prescrire le sport ou interdire le sport ? » Et là, les sources de novembre d’un cardiologue australien font un peu peur : en 40 ans (de 1975 à 2013), 30% de perte aérobie chez les jeunes. Pire 42% de jeunes ne pratiquent pas de sport en dehors de l’école. Alors pour finir cette belle journée, il fallait aussi s’interroger sur : « Le sport, une solution alternative au décrochage scolaire ? » avec les interventions d’un élu d’ïle de France, ou cette expérience de nos voisins belge à Anderlecht qui veut aider les jeunes à être acteurs de leur parcours. Les 3 expériences (Brésil, Guadeloupe, Ile de la réunion) ne font que renforcer dans les esprits de tous « Oui, le sport peut être une alternative au décrochage scolaire ».
Alors à la fin d’une journée comme celle là, on n’a qu’une envie : « continuer la marche en avant pour l’éducation par le sport, la culture, la convivialité, le mieux vivre ensemble ». Et surtout se dire que partout dans le monde, des hommes, des femmes, comme à Verdun, Belleville, Thierville, et ailleurs font bouger les choses et surtout que rien ne doit s’arrêter. « Encore fallait-il y penser »
